About the author - Les origines d'un violon d'Ingres.
- La photographie est mon plus ancien violon d'Ingres: j'ai eu mon premier appareil photo, un Kodak, vers l'âge de 5 ans et j'ai toujours eu un appareil à portée de main, ce qui est commun depuis l'arrivée des smartphones.
C'est une tradition familiale initiée par mon grand-père
Georges Teyssière, un amateur de photographie.
C'était un commerçant Aixois
(un torréfacteur de café), photographe amateur, sportif accompli (skieur, haltérophile, etc), et ... un membre des
Forces Françaises de l'Intérieur
(Armée Secrète - A.S. dès 1943 puis FFI)
ce qui dénotait un courage rare. Comme l'a perspicacement observé Pierre Dac :
"Les résistants de 1945 sont parmi les plus glorieux et les plus valeureux combattants de la Résistance,
ceux qui méritent le plus d’estime et le plus de respect parce que, pendant plus de quatre ans, ils ont courageusement et
héroïquement résisté à leur ardent désir de faire de la Résistance."
Parmi ce qu'il a laissé, il y avait son Contax qui a perpétué la tradition,
et plus important, l'idée qu'il y a des principes avec lesquels on ne transige pas. Bientôt on mettra en ligne sur le site
familial les archives de l'époque.
La photographie permet de garder la mémoire du temps qui passe, les bons moments, et
les instants-clés qui articulent l'existence.
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Gilles Teyssière
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